Rue des Prêtres

[150]

Rue des Clefs, n°35A

[149] Cette demeure fut construite par Sébastien de Breitenlandenberg en 1769.

Rue des Clefs, n°33

[148] François Braconnot, procureur au Conseil souverain, acheta en 1754 les deux anciennes maisons. Il les fit détruire et à leur place il ordonna la construction en 1759 de cette spacieuse demeure avec cour intérieure.

[148-2] La pierre angulaire située dans la cour porte la mention "Pierre angulaire posée par François Braconnot et Marie ... Richart, sa femme, qui ont fait construire cette maison en 1759".

Rue des Clefs

[147]

Rue des Clefs

[146]

[146-2]

Rue des Clefs

[145]

Rue des Clefs

[144]

Rue des Clefs, la Cour de Pairis

[143] Avant de devenir l'actuel Hôtel de Ville ce bâtiment fut propriété de l'abbaye de Pairis

De 1537 à la Révolution, ce bâtiment appartenait à l'abbaye cistercienne de Pairis. Cette ancienne abbaye fut créée en 1138 par le comte Ulrich d'Eguisheim, non loin de Colmar, à Orbey.

Rue des Clefs, n°32-30

[142]

[142-2]

Rue des Clefs, n°18-16-14-12

[141]

Rue des Clefs, n°8-6

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[140-2]

Jour du Printemps

[139] L'hiver a perduré jusqu'à ces derniers jours. Difficile de trouver un arbre en fleur dans la vieille ville mais le printemps semble prendre de la vigueur ces jours-ci...

[139-2] Les lapins sont de sortie, n'est-ce pas le signe que le printemps arrive ?

Rue des Clefs, n°4-2A-2

[138]

[138-2]

Rue des Clefs

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Rue des Cloches

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La rue des Cloches allait autrefois jusqu'à la rue des Clefs. Elle fut amputée d'une bonne partie de la rue à l'occasion de la création de la place de la Mairie dans les années 1970.
En 1308 déjà, cette rue portait le nom de Diemengasse. C'est à partir de 1639 qu'on la nomma Glockengasse en raison d'une fonderie de cloches et de canons qui était installée là.

Place de la Mairie

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[135-2]

Place de la Mairie

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[134-2]

La place de la Mairie est née avec la restructuration du quartier du Steinhaus dans les années 1970. Toutes les bâtisses médiévales se trouvant entre la rue du Rempart et la rue des Cloches (celle-ci rejoignait autrefois la rue des Clefs) furent rasées. A leur place, on construisit un complexe immobilier comprenant une galerie commerciale, des logements et un parking souterrain se trouvant sous l’actuelle place.

Rue Rapp

[133] La rue Rapp (à droite de la photo) vue depuis la rue des Clefs

Rue Rapp

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Rue Rapp, la chapelle St-André

[131] la chapelle étant actuellement en travaux (jusqu'à septembre 2009), une photo d'ensemble sera rajoutée ultérieurement

Rue Rapp, le couvent des Capucins

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[130-2] Fronton en segment de cercle surmontant la porte d'entrée principale du collège et lycée épiscopal Saint-André

En 1697, Vieux-Brisach occupée par les Français depuis 1638, retourna au Saint-Empire. C’est à cette occasion que les Capucins quittèrent la ville pour aller s’installer à Colmar.
Au nombre de cinq, ils s’installèrent dès janvier 1698, de façon provisoire dans une maison située dans la rue Rapp. On fit des quêtes dans le diocèse afin de réunir les fonds nécessaires à la construction d’un couvent.
A la fin de l’année 1700, la construction de l’église et du couvent était en grande partie terminée.
A la révolution, la communauté des capucins comptait une trentaine de membres. En 1790, elle fut dissoute et leurs biens furent confisqués.
Le domaine fut vendu aux enchères en 1796 et devint la propriété d’un négociant et d’un cultivateur. L’église fut transformée en remise et on installa un pressoir dans son chœur.
En 1857, l’ensemble fut racheté par l’évêque de Strasbourg pour y installer l’institut épiscopal.
Après la défaite de 1871, l’institut épiscopal déménagea dans le Territoire de Belfort. Quelques années plus tard, le collège Saint-André qui fut fondé à Colmar, rue de l’Ange, s’y installa.
De nos jours, les lieux abritent le collège et lycée épiscopal Saint-André.

Rue Rapp, la maison du Prêteur royal

[129] cour intérieure du n°8

[129-2] la maison du prêteur royal

François Dietremann fut conseiller au Conseil souverain et bailli de la ville de Colmar. De 1695 à sa mort en 1729, il occupa les fonctions de Prêteur royal. Ce dernier avec comme attribution la surveillance de l’exécutif municipal et disposait du droit de promulguer des règlements de police. En 1701, la ville de Colmar racheta cette maison pour en faire le logement de fonction du Prêteur royal. Après la mort de Dietremann le château de Sainte-Croix-en-Plaine redevint la résidence du Prêteur royal.

Rue Rapp, n°8

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[128-2] Les armoiries Dietremann-Boisgautier

La maison porte la date de 1611 et les armes des familles Dietremann et Boisgautier. François Dietremann était l’époux de Marie Julianne de Boisgautier.

Rue Rapp, n°4-2

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Rue Rapp

[126] vue sur St-Martin depuis la rue Rapp

La rue porte le nom du général et comte d’empire Jean Rapp (1771-1821) né à Colmar. Il suit des études théologiques mais s’engage à l’âge de 16 ans dans l’armée comme simple homme de troupe. Il prend du grade à l’occasion des guerres de la Révolution. A 25 ans, il devient l’aide du camp de Desaix qui le nomme au grade de capitaine. Quelques années plus tard, il devient aide de camp de Napoléon Ier. Il participe à de nombreuses guerres napoléoniennes et s’illustre particulièrement lors de la bataille d’Austerlitz. Il sauve plusieurs fois la vie à l’empereur.

place Jeanne d'Arc, n°9

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[125-2]

place Jeanne d'Arc, n°7

[124] Le numéro 7 fait l'angle avec la rue de la Grenouillère

[124-2] L’oriel de la maison Bergheaud construite en 1904

place Jeanne d'Arc, n°6

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place Jeanne d'Arc, n°4

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Place Jeanne d'Arc

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La place Jeanne d’Arc était dès 1316 le marché aux chevaux (Rossmerkete), puis à partir de 1356, le marché aux bestiaux(Viehmerkete). Après l’annexion de Colmar par le roi de France, l’endroit fut nommé place de la Grève car le gibet et les exécutions publiques y furent transférés. Après la Révolution, elle devint la place du Marché-au-petit-bétail, entre 1871 et 1918 la place des Clés (Schlusselplatz).

Rue Etroite

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